LES BEAUX-ARTS EN CHANTIER
Suite aux deux premières phrases de Jean-Pierre Tixier,
voici la récolte de nos productions durant l'atelier écriture du mardi 24 mai
L’école des Beaux-Arts est un perpétuel chantier, des matériaux stockés, des hommes et des femmes qui œuvrent à la construction de pièces.
L’école des Beaux-Arts est un espace en mutation, entre matériaux entrants et productions sortantes.
Les sens de circulations se modifient sans cesse,
ville aux feux denses,
on recherche LARU :
3 rue Michelet BP 22566- 21025 Dijon Cedex
suivre le Groupe aux Pratiques Sensibles Artistiques
arrivée Avenue Jean Jaurès à ETAMAT
Va et vient
Itinéraire à pieds, 1,7 km
Départ de l’Ensa de Dijon
Prendre la direction Ouest sur Parvis Saint-Philibert vers rue Condorcet, 85 m
Prendre à gauche sur Condorcet, 350 m
Continuer sur rue Monge, 67 m
Prendre légèrement à gauche sur rue du Faubourg Raines, 15 m
Prendre à gauche sur rue de l’Arquebuse, 180 m
Continuer sur rue de l’Hôpital, 1 km
Arrivée Avenue Jean Jaurès, ETAMAT
durée moyenne du trajet : 21 minutes
L’Ensa fonde LARU
Pas à pas.
Tas à tas.
La recherche est en chantier.
A l’ENSA, LARU poursuit ses recherches : prospections, explorations, fouilles, expérimentations…
Cap sur Etamat, en quêtes de nouvelles créations.
L’ENSA en recherche à ETAMAT, c’est parfois rude !
Le chantier n’a pas de forme propre, il emprunte à la ville, à la technique, au plan.
Le chantier est comme un spectacle de rue, une installation temporaire qui se glisse dans le tissu urbain.
L’homme, jaune d’un orange fluo,
une brique, du béton,
une population comparable à la faune.
Usine de la construction formelle.
Ecole, chantier : cité radieuse.
Les Beaux-Arts vont chercher des formes sur le chantier d’Etamat.
A l’Ensa de Dijon, la création est en transit. Il y a un casier par étudiant, et comme à Etamat, on stocke, on range, on déballe, on remballe.
Tout se déplace. On déménage continuellement.
Emmanuelle